Au vent chaud des vitrines
questionnant leur reflet
poussent les passants en
image parenthèse..
ouverte puis fermée
*
A l'amble de ces petits monstres au trot
se dessinent et s'éclipsent
dans la lumière de la nef marchande
plein de regards lubriques
en permanence et survie
*
Ici de ce côté du monde
suivant ce chemin de pensées vagabondes
se vérole le temps - crépitement de cicatrices
*
la jambe agitée de soubresauts
comme - seulement- l'esprit
cherche
un espace de couleur
pour exister en hâte
.............à suivre
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